Qui a dit : « Je m’oppose à la violence parce que lorsqu’elle semble produire le bien, le bien qui en résulte n’est que transitoire, tandis que le mal produit est permanent » ? Mohandas Karamchand Gandhi. Ce lundi 2 octobre, Journée Internationale de la Non-Violence, la citation est toujours d’actualité, en même temps que l’on fête l’anniversaire de Gandhi !
L’ONU décrète cette journée !
Tous les événements qui se passent à travers le monde ne viennent pas servir cette Journée Internationale de la Non-Violence décrétée par l’ONU en juin 2007. La même ONU qui est critiquée pour son manque d’action afin de stopper les violences et instaurer la paix. Il y a dix ans, l’Organisation des Nations Unies avait décidé d’instaurer cette journée pour travailler sur différentes thématiques. Elle s’engageait à soutenir la communication participative et la libre circulation de l’information mais aussi à promouvoir la paix et la sécurité internationales. Respect des droits de l’homme, renforcement d’une culture de la paix par l’éducation et promotion du développement économique font également partie du tableau. Sans oublier l’égalité femmes-hommes, la participation démocratique et le développement de la compréhension, la tolérance et la solidarité. Autant de sujets plus que jamais d’actualité.
Lorsque l’on parle de non-violence, on pense énormément aux conflits armés. A leurs côtés se trouvent aussi d’autres préoccupations. 10 ans après quel pourrait être le bilan de l’ONU ?